chevalière
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French
[edit]Etymology
[edit]From chevalier (“knight”) + -ière (“-ess”, feminine noun-forming suffix). In the sense “signet ring”, an ellipsis of bague à la chevalière (“ring in knightly style”), first attested in 1821.
Pronunciation
[edit]Noun
[edit]chevalière f (plural chevalières)
- signet ring
- Synonym: signet
- female equivalent of chevalier
- 1827 (written), Victor Hugo, “Amy Robsart”, in Œuvres complètes[1], volume 3, published 1961, page 121:
- Je suis pour le moment au service d’une noble dame, d’une chevalière errante à laquelle je sers d’écuyer, de page, et de bouffon; dont je suis le guide et le défenseur.
- I am, for the moment, at the service of a noble lady, of a knightess-errant whom I serve as squire, page, and jester; of whom I am the guide and the defender.
- 1934, Jean-Jacques Brousson, La chevalière d’Éon; ou, Le dragon en dentelles […][2], page 218:
- […] ce chevalier est une chevalière … une pauvre femme comme moi !
- […] this knight is a knightess … a poor woman like me!
- 1988, “Résumés des articles à paraître dans Moreana Nº 100”, in Moreana[3], volume 25, numbers 2–3, page 254:
- Edith est une chevalière d’industrie et une enjoleuse, dont les aventures ont été parfois dédaignées par la critique comme étant bien maigres et guère accrochantes.
- Edith is a rascal [a chevalier d'industrie] and a flirt, whose adventures critics have sometimes disdained as rather meagre and not particularly fascinating.
Further reading
[edit]- “chevalière”, in Trésor de la langue française informatisé [Digitized Treasury of the French Language], 2012.